C’est drôle qu’au moment où j’ouvre cette page, le Soleil montre le bout de son nez pour la première fois de la journée.
Et d’ailleurs, ça change tout. Va savoir par quel mécanisme chimique le fait de voir ce rayon sur mon clavier me donne du baume au cœur. J’ai retrouvé la vraie ambiance, celle de la lassitude devant Roland Garros, avec le Soleil dehors. Comme un vrai début d’été. Ça me plait.
J’ai plus très envie de dire ce que j’avais à dire. Assurément, il est drôle, ce rayon de Soleil.